Proust's great work, the major French literary statement of the 20th Century, looks back at the old social order while noting the rise of a different way of life. It is extraordinary not only in its length, but for the remarkable observations on the aspirations, the foibles and emotions of life. Once experienced, 'A La Recherche du temps Perdu' and the voice of Proust are never forgotten. This box set contains all 12 volumes, from 'Swann's Way' to 'Time Regained' and includes the biography 'The Life and Works of Proust', written and read by Neville Jason who through his recording of 'Remembrance of Things Past' for Naxos AudioBooks has become the voice of Proust for a generation.
433 : [---- VII ----] Le Temps Retrouvé - Tansonville - Toute la journée, dans cette demeure 434 : J'eus, du reste, l'occasion, pour anticiper un peu, puisque je suis encore à Tansonville 435 : Je ne voulus pas emprunter à Gilberte la Fille aux yeux d'Or 436 : Je m'arrêtai là, car je partais le lendemain 437 : Cette disposition-là, les pages de Goncourt que je lus me la firent regretter 438 : Le salon Sainte-Euverte était une étiquette défraîchie 439 : Tous ces téléphonages de Mme Verdurin 440 : Quarante-huit heures n'étaient pas passées que certains faits que j'appris 441 : Je parlai à Saint-Loup de son ami le directeur du Grand Hôtel de Balbec 442 : Ils n'étaient pas restés à Tansonville, d'ailleurs 443 : C'est ainsi qu'ayant voulu aller chez Mme Verdurin j'avais rencontré M. de Charlus 444 : Au temps où je croyais ce qu'on disait, j'aurais été tenté 445 : La guerre se prolongeait indéfiniment 446 : C'est comme au théâtre quand on dit 447 : Que cette parenthèse sur Mme de Forcheville m'autorise, tandis que je descends les boulevards 448 : Je pensai aussitôt à Combray et qu'autrefois j'aurais cru me diminuer 449 : Après le raid de l'avant-veille, où le ciel avait été plus mouvementé que la terre 450 : Mais il faut revenir en arrière. Je descends les boulevards à côté de M. de Charlus
451 : Tout à coup le patron entra, chargé de plusieurs mètres de grosses chaînes 452 : Je descendis et rentrai dans la petite antichambre où Maurice 453 : Comme il est simple ! jamais on ne dirait un prince 454 : Tout en me rapprochant de ma demeure, je songeais combien la conscience cesse vite 455 : Dans ce livre, où il n'y a pas un seul fait qui ne soit fictif 456 : Matinée chez la princesse de Guermantes - La nouvelle maison de santé dans laquelle je me retirai 457 : Quand Jupien eut aidé le baron à descendre et que j'eus salué celui-ci 458 : Mais c'est quelquefois au moment où tout nous semble perdu 459 : Ce n'était d'ailleurs pas seulement un écho, un double d'une sensation passée 460 : Un rayon oblique du couchant me rappelle instantanément un temps auquel je n'avais jamais repensé 461 : L'idée d'un art populaire comme d'un art patriotique, si même elle n'avait pas été dangereuse, me semblait ridicule 462 : Comment la littérature de notations aurait-elle une valeur quelconque 463 : Il n'est pas certain que, pour créer une oeuvre littéraire, l'imagination et la sensibilité 464 : Certes, nous sommes obligés de revivre notre souffrance particulière 465 : Si je m'étais toujours tant intéressé aux rêves que l'on a pendant le sommeil 466 : Le Bal de têtes - À ce moment le maître d'hôtel vint me dire que, le premier morceau étant terminé 467 : Certes, dans les coulisses d'un théâtre, ou pendant un bal costumé 468 : Presque aussitôt après quelqu'un parla de Bloch, je demandai si c'était du jeune homme ou du père
469 : En plusieurs, je finissais par reconnaître, non seulement eux-mêmes, mais eux tels qu'ils étaient 470 : Il y avait des hommes que je savais parents d'autres 471 : Chose curieuse, le phénomène de la vieillesse semblait, dans ses modalités 472 : Mais après cette anticipation, revenons trois ans en arrière 473 : Encore la sensation du temps écoulé et de l'anéantissement d'une partie de mon passé disparu 474 : Du reste, il faut bien dire que cette ignorance des situations réelles 475 : Plus d'une des personnes que cette matinée réunissait 476 : Une dame sortit, car elle avait d'autres matinées et devait aller goûter avec deux reines 477 : Je regardai Gilberte 478 : Or, pendant ce temps, avait lieu à l'autre bout de Paris un spectacle bien différent. La Berma 479 : Cependant, je remarquai sans aucune satisfaction d'amour-propre, car elle était devenue vieille et laide 480 : Bloch s'étant approché de nous et ayant demandé, de la part de son Américaine 481 : La vie de la duchesse ne laissait pas, d'ailleurs, d'être très malheureuse 482 : Par moments, sous le regard des tableaux anciens réunis par Swann 483 : Mais comment puis-je vous parler de ces sottises 484 : Enfin cette idée de temps avait un dernier prix pour moi, elle était un aiguillon 485 : Maintenant, me sentir porteur d'une oeuvre rendait pour moi un accident où j'aurais trouvé la mort 486 : Ce serait un livre aussi long que les Mille et une Nuits peut-être, mais tout autre
391 : [---- VI ----] Albertine disparue - Le chagrin et l'oubli - Mademoiselle Albertine est partie ! 392 : Certes, ce coup physique au coeur que donne une telle séparation 393 : Devant la porte d'Albertine, je trouvai une petite file pauvre 394 : Saint-Loup que je savais à Paris avait été mandé par moi à l'instant même 395 : Saint-Loup devait être à peine dans le train que je me croisai dans mon antichambre avec Bloch 396 : Puis la concurrence des autres formes de la vie rejeta dans l'ombre cette nouvelle douleur 397 : J'écrivis à Albertine 398 : En faisant la chambre d'Albertine, Françoise, curieuse, ouvrit le tiroir 399 : La lettre d'Albertine n'avançait en rien les choses 400 : Pour que la mort d'Albertine eût pu supprimer mes souffrances 401 : D'ailleurs au souvenir des heures même purement naturelles s'ajouterait 402 : Ce qui remplissait mon coeur maintenant était, au lieu de haineux soupçons, le souvenir attendri 403 : Comme elle accourait vite me voir, à Balbec, quand je la faisais chercher 404 : Ma séparation d'avec Albertine, le jour où Françoise m'avait dit : « Mademoiselle Albertine est partie » 405 : Je n'avais pas encore reçu de nouvelles d'Aimé qui pourtant devait être arrivé à Balbec 406 : Aimé alla loger à côté de la villa de Mme Bontemps ; il fit la connaissance d'une femme de chambre 407 : Ce qui vint à mon secours contre cette image de la blanchisseuse 408 : Si encore ce retrait en moi des différents souvenirs d'Albertine 409 : Mais la lecture des journaux m'en était odieuse, et de plus elle n'était pas inoffensive 410 : Les romanciers prétendent souvent, dans une introduction, qu'en voyageant dans un pays 411 : Je ramenais avec moi les filles qui m'eussent le moins plu, je lissais des bandeaux à la vierge
412 : Mademoiselle de Forcheville - Ce n'était pas que je n'aimasse encore Albertine 413 : Un instant avant que Françoise m'apportât la dépêche 414 : Après le déjeuner, quand j'allai chez Mme de Guermantes, ce fut moins pour Mlle d'Éporcheville 415 : La duchesse finissait d'ailleurs par éprouver de sa persévérance poursuivie 416 : Quand M. de Guermantes eut terminé la lecture de mon article 417 : Nous étions dans ma chambre pour une autre raison encore 418 : En ce qui concerne le jeune sportif, neveu des Verdurin 419 : Quand Andrée fut partie, l'heure du dîner était arrivée 420 : Je lui montrai le papier : « Je n'ai aucun remords 421 : Séjour à Venise - Ma mère m'avait emmené passer quelques semaines à Venise 422 : Plusieurs des palais du Grand Canal étaient transformés en hôtels 423 : Parfois, au crépuscule, en rentrant à l'hôtel je sentais que l'Albertine d'autrefois, invisible à moi-même 424 : Après le déjeuner, quand je n'allais pas errer seul dans Venise 425 : Le soir, je sortais seul, au milieu de la ville enchantée 426 : Nouvel aspect de Robert de Saint-Loup - Oh ! c'est inouï, me dit ma mère 427 : Dans la maison de femmes – où on procurait de plus en plus des hommes 428 : Ces deux mariages dont nous parlions déjà avec ma mère dans le train 429 : Une autre erreur encore que tout jeune lecteur peu au courant eût été porté à faire 430 : Je compris qu'une séparation avait failli se produire entre Robert et sa femme 431 : Dans une soirée où j'avais rencontré Robert avant que je ne partisse pour Combray 432 : Je n'aurais d'ailleurs pas à m'arrêter sur ce séjour que je fis du côté de Combray
335 : [---- V ---- La Prisonnière] Vie en commun avec Albertine - Dès le matin 336 : Malgré tout et même en dehors de la question des convenances 337 : Sans me sentir le moins du monde amoureux d'Albertine 338 : Françoise venait allumer le feu 339 : Mais déjà la journée finissait et j'étais envahi par la désolation du soir 340 : Bien souvent, par exemple, ce n'était pas pour donner le change 341 : Charlie avait d'autant moins écouté ces éloges 342 : Ainsi, à la fin de son séjour à Balbec 343 : Dès que la jalousie est découverte, elle est considérée par celle qui en est l'objet 344 : Albertine n'avait-elle pas été, devant l'Hôtel, comme une grande actrice de la plage en feu, excitant 345 : Mais ce plaisir de la voir dormir, et qui était aussi doux que la sentir vivre 346 : J'avais promis à Albertine que, si je ne sortais pas avec elle, je me mettrais au travail 347 : Ce soir-là, le projet qu'Albertine avait formé 348 : D'ailleurs, Albertine m'effrayait en me disant que j'avais raison 349 : La souffrance dans l'amour cesse par instants, mais pour reprendre d'une façon différente 350 : Je ne trouvais nullement répréhensible, ce soir 351 : Le lendemain de cette soirée où Albertine m'avait dit qu'elle irait peut-être 352 : Dans ces divers sommeils, comme en musique encore
353 : J'étais, en tous cas, bien content qu'Andrée accompagnât Albertine 354 : Je me mis à lire la lettre de maman 355 : N'importe, cela revenait au même. Il fallait à tout prix éviter qu'au Trocadéro 356 : D'abord il fallait être certain que Léa allât vraiment au Trocadéro 357 : Mais malgré la richesse de ces oeuvres où la contemplation de la nature 358 : J'avais à peine le temps d'apercevoir 359 : Parfois, dans les heures où elle m'était le plus indifférente 360 : Pour lui faire paraître sa chaîne plus légère 361 : Je devinai longtemps après que j'avais faussement accusé les journaux d'inexactitude 362 : La mort de Swann m'avait à l'époque bouleversé. La mort de Swann! 363 : C'est comme ça, Brichot, que vous vous promenez la nuit avec un beau jeune homme 364 : Oui, elle sait se vêtir ou plus exactement s'habiller, reprit M. de Charlus au sujet d'Albertine 365 : Mais il est temps de rattraper le baron qui s'avance, avec Brichot et moi 366 : Si nous n'avions que des membres, comme les jambes et les bras, la vie serait supportable 367 : Ces exclusions de M. de Charlus n'étaient pas toujours fondées sur des ressentiments de toqué 368 : Mme Verdurin attendait donc les invitées du baron avec une certaine émotion 369 : Ce qui perdit M. de Charlus ce soir-là fut la mauvaise éducation 370 : Vinteuil était mort depuis nombre d'années
371 : Cependant le septuor, qui avait recommencé, avançait vers sa fin 372 : Pour cette fête-ci, les éléments impurs qui s'y conjuguaient 373 : Les autres invitées de M. de Charlus s'en allèrent assez rapidement 374 : Or, comme je sortais du salon appelé salle de théâtre 375 : J'avais été frappé en apprenant que le nom de Villeparisis était faux 376 : Je vis que M. de Charlus allait nous dire de quelle façon ce genre de moeurs 377 : Déjà, dans l'esprit rusé de Morel, avait germé une combinaison 378 : Ainsi, M. de Charlus – pour anticiper sur les jours qui suivirent cette soirée 379 : On pouvait croire, avec le caractère terrible de M. de Charlus 380 : Albertine ne m'avait jamais dit qu'elle me soupçonnât d'être jaloux d'elle 381 : Pendant qu'elle me parlait, se poursuivait en moi 382 : Cette crainte vague, éprouvée par moi chez les Verdurin, qu'Albertine me quittât 383 : Il n'y eut qu'un moment où j'eus pour elle une espèce de haine qui ne fit qu'aviver mon besoin de la retenir 384 : Ce matin-là, pendant qu'Albertine dormait et que j'essayais de deviner ce qui était caché en elle 385 : Tout avait péri de ce temps, mais tout renaissait 386 : Les phrases de Vinteuil me firent penser à la petite phrase et je dis à Albertine 387 : Par instants, dans les yeux d'Albertine, dans la brusque inflammation de son teint 388 : Enfin, du moins, Andrée allait partir 389 : Je savais bien qu'elle ne pouvait me quitter sans me prévenir 390 : Nous nous arrêtâmes dans une grande pâtisserie
266 : [---- IV ----] Sodome et Gomorrhe - Première apparition des hommes-femmes 267 : J'avais perdu de vue le bourdon, je ne savais pas s'il était l'insecte qu'il fallait à l'orchidée 268 : Dès le début de cette scène, une révolution, pour mes yeux dessillés, s'était opérée en M. de Charlus 269 : Pour les uns, ceux qui ont eu l'enfance la plus timide sans doute 270 : Au reste j'exagérais beaucoup alors, devant cette révélation première 271 : Comme je n'étais pas pressé d'arriver à cette soirée des Guermantes 272 : Je fus à ce moment arrêté par un homme assez vulgaire, le professeur E 273 : La distance qui me séparait de l'entrée des jardins 274 : Tellement distrait dans le monde que je n'appris que le surlendemain, par les journaux 275 : On ne cessa de trouver à ce salut toutes les qualités 276 : On vit passer une duchesse fort noire, que sa laideur et sa bêtise, et certains écarts de conduite, avaient exilée 277 : J'avais grande envie de savoir ce qui s'était exactement passé entre le Prince et Swann 278 : J'allais traverser le fumoir et parler à Swann 279 : Comme ces deux jeunes gens ont un air étrange ! 280 : Nous allâmes nous asseoir, mais, avant de s'éloigner du groupe 281 : Quand Swann fut parti, je retournai dans le grand salon où se trouvait cette princesse de Guermantes 282 : Je revois toute cette sortie 283 : Ces pittoresques études de géographie linguistique 284 : Je fis semblant d'être contraint d'écrire. « À qui écriviez-vous ? me dit Albertine 285 : Certes, le petit clan des Verdurin avait actuellement un intérêt autrement vivant 286 : Les intermittences du coeur - Ma seconde arrivée à Balbec
287 : Quant à l'oubli de ma grand'mère où j'avais vécu jusqu'ici 288 : Sur la carte qu'on me remit, Mme de Cambremer avait griffonné 289 : Maman, qui avait rencontré Albertine, avait insisté pour que je la visse 290 : Chapitre deuxième - Les mystères d'Albertine 291 : Avec l'orgueil démocratique qui le caractérisait 292 : Quelques jours après, à Balbec, comme nous étions dans la salle de danse du Casino 293 : Le Sidaner était l'artiste élu par l'ami des Cambremer 294 : Oh ! elles s'envolent, s'écria Albertine en me montrant les mouettes 295 : Sur un signe de sa belle-fille, Mme de Cambremer 296 : Comme si Albertine avait dû avoir de la peine à croire ce que je lui disais 297 : Non seulement les jeunes filles étaient peu nombreuses 298 : je montais au contraire dans la chambre de deux soeurs 299 : Nous étions, Albertine et moi, devant la station Balbec du petit train d'intérêt local 300 : Tout en causant avec lui, mais brièvement, à cause de son train, je regardais le wagon d'Albertine 301 : Pendant les premières secondes où le petit groupe se fut engouffré dans le wagon 302 : Cottard disait beaucoup plus souvent : Je le verrai mercredi chez les Verdurin 303 : C'est en silence et sans plaisanteries de mauvais goût qu'ils se préparaient au jour fatal 304 : Oubliant qu'elle tenait à son « coin », Mme Sherbatoff 305 : Le sculpteur fut très étonné d'apprendre que les Verdurin consentaient à recevoir M. de Charlus 306 : Je venais de transmettre à Mme Verdurin le message dont m'avait chargé Morel 307 : Enfin, un jardin de curé commençait à remplacer devant le château 308 : Un philosophe qui n'était pas assez moderne pour elle, Leibnitz
309 : Saniette voyait avec joie la conversation prendre un tour si animé 310 : Vous comprenez que je ne regrette pas Elstir, me dit Mme Verdurin 311 : Je ne saurais dire aujourd'hui comment Mme Verdurin était habillée 312 : Est-ce que vous comptez rester longtemps sur la côte ? 313 : Des rafraîchissements étaient servis sur une table 314 : On distinguait à peine la mer par les fenêtres de droite 315 : Chapitre troisième - Tristesses de M. de Charlus 316 : Quand j'avais croisé M. de Charlus 317 : Arrivée au bas de la route de la Corniche, l'auto monta d'un seul trait 318 : Il peut sembler que mon amour pour les féeriques voyages en chemin de fer 319 : Quand Albertine trouvait plus sage de rester à Saint-Jean de la Haise pour peindre 320 : Après le dîner l'auto ramenait Albertine 321 : Pour revenir au mécanicien, il demanda non seulement à Morel 322 : Il faisait déjà nuit quand nous montions dans l'omnibus ou la voiture 323 : Albertine ne pouvait le gêner, car elle était toujours avec les dames, par grâce de jeune fille 324 : Quand M. de Charlus ne parlait pas de son admiration pour la beauté de Morel 325 : Quand, pour une raison quelconque, on introduit une fois pour toutes un changement 326 : Si M. de Charlus, en jetant sur le papier cette lettre, avait paru en proie au démon 327 : Cottard arriva enfin, quoique mis très en retard 328 : Cependant le soir où Morel devait être absent était arrivé 329 : Les relations des Cambremer ne tardèrent pas à être moins parfaites avec Mme Verdurin 330 : Le jour du dîner venu, on attendait dans le grand salon de Féterne 331 : Il suffit, de la sorte, qu'accidentellement, absurdement, un incident 332 : Chapitre quatrième - Brusque revirement vers Albertine
183 : [---- III ----] Le pépiement matinal des oiseaux semblait insipide à Françoise 184 : Dans la maison que nous étions venus habiter, la grande dame du fond de la cour était une duchesse 185 : Malgré l'air de morgue de leur maître d'hôtel 186 : Mon père avait au ministère un ami 187 : Cependant mes regards furent détournés de la baignoire de la princesse de Guermantes 188 : Au moment où cette seconde pièce commença 189 : Maintenant tous les matins, bien avant l'heure où elle sortait 190 : Je n'aurais pas senti moi-même que Mme de Guermantes était excédée 191 : Saint-Loup arriva, remuant dans tous les sens, laissant voler son monocle 192 : Ah ! Robert, qu'on est bien chez vous 193 : Si je voulais sortir ou rentrer sans prendre l'ascenseur ni être vu dans le grand escalier 194 : Mais un peu plus tard j'allai souvent voir le régiment faire du service en campagne 195 : Et précisément à l'hôtel où j'avais rendez-vous avec Saint-Loup et ses amis 196 : Je me plaisais surtout à causer avec ce jeune homme 197 : Ces théories de Saint-Loup me rendaient heureux 198 : Je n'arrivais pas tous les soirs au restaurant de Saint-Loup dans les mêmes dispositions 199 : Tous les amis de Robert me dirent qu'aussi longtemps que je resterais à Doncières 200 : Un matin, Saint-Loup m'avoua, qu'il avait écrit à ma grand'mère 201 : À ma demande d'aller voir les Elstirs de Mme de Guermantes 202 : Mon père nous avait raconté qu'il savait maintenant par A. J. où allait M. de Noirpois
203 : Ayant quitté Paris où, malgré le printemps commençant 204 : J'aurais aimé que nous puissions, toi et moi, attendre ensemble 205 : À ce moment on vint dire à Aimé qu'un monsieur 206 : Un numéro du programme me fut extrêmement pénible 207 : À ce moment, je vis Saint-Loup lever son bras 208 : Puis le talent n'est pas un appendice postiche qu'on ajoute artificiellement 209 : Mon Dieu, les ministres, mon cher monsieur 210 : « Bonjour Alix », dit Mme de Villeparisis 211 : Le visiteur importun entra, marchant droit vers Mme de Villeparisis 212 : L'excellent écrivain G... entra ; il venait faire à Mme de Villeparisis une visite 213 : Un regard du baron de Guermantes 214 : Bloch s'était montré enchanté de l'idée de connaître M. de Norpois 215 : J'ai entendu que vous refusiez l'amie de Robert, dit Mme de Guermantes à sa tante 216 : Mais si, c'est très mystérieux, l'amour, reprit la duchesse 217 : M. de Norpois leva les yeux au ciel 218 : Je vous trouve tous aussi assommants les uns que les autres avec cette affaire, dit la duchesse 219 : Bloch ne put arriver à le faire parler de la question de la culpabilité de Dreyfus 220 : Comme Bloch s'approchait d'elle pour lui dire au revoir 221 : Ils causèrent un instant ensemble et sans doute de moi 222 : C'est ainsi que le prince de Faffenheim avait été amené à venir voir Mme de Villeparisis 223 : J'ai raconté bien auparavant ma stupéfaction qu'un ami de mon père comme était M. de Norpois
224 : Qui sait ? peut-être en voyant que j'agis ainsi reconnaîtra-t-elle ses torts 225 : M. de Charlus s'interrompit pour me poser des questions sur Bloch 226 : Pour ma part, à peine rentré à la maison, j'y retrouvai le pendant de la conversation 227 : Ta grand'mère pourrait peut-être aller s'asseoir 228 : La « marquise » reprit un ton plus doux 229 : Maladie de ma grand'mère - Nous retraversâmes l'avenue Gabriel 230 : il semblait, de même que la méchanceté aime à exagérer les souffrances des autres 231 : Dans un de ces moments où, selon l'expression populaire, on ne sait plus à quel saint se vouer 232 : Le sixième jour, maman, pour obéir aux prières de grand'mère 233 : Quelques jours plus tard, comme je dormais, ma mère vint m'appeler au milieu de la nuit 234 : Depuis plusieurs nuits mon père, mon grand-père, un de nos cousins veillaient 235 : Depuis le matin on avait allumé le nouveau calorifère à eau 236 : Tout cela est tiré du trésor social. Mais justement le milieu d'Albertine 237 : Si vraiment vous permettez que je vous embrasse 238 : Albertine m'avait tant retardé que la comédie venait de finir quand j'arrivai chez Mme de Villeparisis 239 : Cependant je dois dire qu'une surprise d'un genre opposé allait suivre 240 : Albertine me parlait peu, car elle sentait que j'étais préoccupé 241 : J'ai dit (et précisément c'était, à Balbec, Robert de Saint-Loup 242 : Car, le soir du brouillard, les nobles du café qui devaient être plus tard les pères de ces jeunes intellectuels 243 : Cependant je regardais Robert et je songeais à ceci 244 : La duchesse ne m'ayant pas parlé de son mari
245 : Comme le duc se gênait fort peu avec ses invités 246 : Ensuite je demandai au duc de me présenter au prince d'Agrigente 247 : Le même génie de la famille présentait à Mme de Guermantes la situation des duchesses 248 : Un certain nombre de réalités bonnes ou mauvaises 249 : Quand le salon devenait trop plein, la dame d'honneur chargée du service d'ordre 250 : Ainsi grâce, une fois, à Taquin le Superbe, une autre fois à un autre mot 251 : M. de Guermantes, à cette époque de sa vie, avait, au grand scandale des Courvoisier 252 : Cependant, en se mettant à table, la princesse de Parme 253 : À tant de raisons de déployer son originalité locale, les écrivains préférés de Mme de Guermantes 254 : Malgré l'extrême fatigue qu'elle commençait à éprouver, la princesse était ravie 255 : Puisque nous parlions de votre famille, Oriane, dit la princesse 256 : La commode sur laquelle la plante est posée est splendide aussi, c'est Empire 257 : Après avoir gravi les hauteurs inaccessibles du nom de Guermantes 258 : Dans les familles bourgeoises on voit parfois naître des jalousies 259 : À plusieurs reprises déjà j'avais voulu me retirer 260 : Pour toutes ces raisons, les causeries avec la duchesse 261 : Si vous voulez me dire, monsieur, qui m'a perfidement calomnié, dis-je à M. de Charlus 262 : Mais enfin je ne puis vous donner d'éclaircissements sur tout cela 263 : Ce fut le duc seul qui me reçut dans sa bibliothèque 264 : Je n'avais pas vu Swann depuis très longtemps 265 : S'il y avait tout le temps des querelles et si on restait peu chez la duchesse
103 : [---- II ----] Ma mère, quand il fut question d'avoir pour la première fois M. de Norpois à dîner 104 : Le premier dîner que M. de Norpois fit à la maison 105 : Hélas ! cette première matinée fut une grande déception 106 : Enfin éclata mon premier sentiment d'admiration 107 : Mon père avait pour mon genre d'intelligence un mépris 108 : Quant à Vaugoubert, vous savez qu'il avait été fort attaqué pour sa politique de rapprochement avec la France 109 : Ce changement n'était peut-être pas aussi extraordinaire que le trouvait M. de Norpois 110 : Atterré par ce que M. de Norpois venait de me dire du fragment que je lui avais soumis 111 : Ma mère ne parut pas très satisfaite que mon père ne songeât plus pour moi à la « carrière » 112 : Quand vint le 1er janvier, je fis d'abord des visites de famille avec maman 113 : Peut-être aussi cette activité de tous les sens à la fois 114 : Mes suffocations ayant persisté 115 : Bien plus, les goûters eux-mêmes que Gilberte offrait à ses amies 116 : Quand Mme Swann était retournée auprès de ses visites 117 : La faculté de dire de telles choses, de les dire sincèrement, Swann l'avait acquise chez la duchesse 118 : Ces dispositions nouvelles du kaléidoscope 119 : Ce ne fut pas seulement à ces goûters 120 : Au reste, le plus souvent, nous ne restions pas à la maison 121 : Pendant ces minutes où Gilberte, partie se préparer 122 : Au Jardin d'Acclimatation, que j'étais fier
123 : Swann ne tenait plus en place 124 : Aussi – de même que la diction de Bergotte eût sans doute charmé 125 : Si, pourtant, malgré tant de correspondances que je perçus dans la suite entre l'écrivain et l'homme 126 : Cependant Gilberte qu'on avait déjà priée deux fois d'aller se préparer pour sortir 127 : Mon Dieu, mais comme votre présence élève le niveau de la conversation 128 : La malveillance avec laquelle Bergotte parlait ainsi à un étranger d'amis 129 : Cette Rachel, que j'aperçus sans qu'elle me vît 130 : La dernière fois que je vins voir Gilberte, il pleuvait 131 : À cette acceptation, je finis pourtant par arriver 132 : Dès la fin d'octobre Odette rentrait le plus régulièrement qu'elle pouvait pour le thé 133 : Comme Odette n'allait pas tarder à le faire, Mme Verdurin se proposait bien le « monde » comme objectif 134 : Et moi aussi, il fallait que je rentrasse, avant d'avoir goûté à ces plaisirs de l'hiver 135 : Cependant, comme presque chaque fois que j'allais la voir, Mme Swann 136 : Dans la confusion du salon 137 : Par association, ce souvenir en ramena un autre dans ma mémoire 138 : Dès son arrivée, je saluais Mme Swann 139 : J'étais arrivé à une presque complète indifférence à l'égard de Gilberte 140 : Ma grand'mère concevait naturellement notre départ d'une façon 141 : Ma mère, voyant que j'avais peine à contenir mes larmes 142 : Les levers de soleil sont un accompagnement des longs voyages en chemin de fer
143 : Ce que j'ai vu jusqu'ici c'était des photographies de cette église 144 : Il n'est peut-être rien qui donne plus l'impression de la réalité de ce qui nous est extérieur 145 : Quand Swann m'avait dit à Paris 146 : J'avais beau avoir appris que les jeunes gens qui montaient tous les jours à cheval 147 : M. de Stermaria n'était pas ce jour-là à Balbec 148 : Comme un coiffeur voyant un officier qu'il sert 149 : Or, en sortant du concert, comme, en reprenant le chemin qui va vers l'hôtel 150 : Nous fûmes étonnés, ma grand'mère et moi, de voir combien elle était plus « libérale » 151 : Comme je quittais l'église, je vis devant le vieux pont des filles du village 152 : Nous apercevions déjà l'hôtel, ses lumières si hostiles le premier soir 153 : Une après-midi de grande chaleur j'étais dans la salle à manger de l'hôtel 154 : En revanche par moment ma pensée démêlait en Saint-Loup 155 : Et puis chaque vice, comme chaque profession, exige et développe un savoir spécial 156 : Saint-Loup me parla de la jeunesse, depuis longtemps passée, de son oncle 157 : Je reconnaissais maintenant dans le regard dur qui m'avait fait retourner tout à l'heure près du casino 158 : Cependant ma grand'mère m'avait fait signe de monter me coucher 159 : Un certain nombre d'autres infimes indices achevaient de lui donner aux yeux du cousinage une prétendue distinction 160 : J'allai voir Bloch à la suite de ce dîner 161 : Ce jour-là, comme les précédents, Saint-Loup avait été obligé d'aller à Doncières 162 : Si nous pensions que les yeux d'une telle fille ne sont qu'une brillante rondelle de mica
163 : Je ne sais pourquoi je me dis dès le premier jour que le nom de Simonet devait être celui d'une des jeunes filles 164 : J'entendais le grondement de mes nerfs 165 : Je ne connaissais aucune des femmes qui étaient à Rivebelle 166 : Célèbre, Elstir ne l'était peut-être pas encore à cette époque 167 : À partir de cet après-midi-là, moi 168 : Parfois à ma fenêtre, dans l'hôtel de Balbec, le matin quand Françoise 169 : Mon hésitation entre les diverses jeunes filles de la petite bande 170 : Le rebord de la fenêtre fut bientôt rose 171 : Le soir tombait ; il fallut revenir ; je ramenais Elstir vers sa villa, quand tout d'un coup 172 : C'est dans ces pensées silencieusement ruminées à côté d'Elstir 173 : Si l'incarnation de nous-même en ce qui nous semblait le plus différent 174 : Pensant que si je connaissais leurs amis j'aurais plus d'occasions de voir ces jeunes filles 175 : Je rentrai à l'hôtel, ma grand'mère n'y était pas 176 : Autrefois j'eusse préféré que cette promenade eût lieu par le mauvais temps 177 : Étendu sur la falaise 178 : Les yeux d'Albertine n'avaient cessé d'étinceler pendant qu'elle faisait cette lecture 179 : Étourdi de chagrin, je lâchai la ficelle 180 : Je voyais de côté les joues d'Albertine qui souvent paraissaient pâles 181 : Plaisant plus qu'elle ne voulait et n'ayant pas besoin de claironner ses succès, Albertine 182 : Puis les concerts finirent, le mauvais temps arriva, mes amies quittèrent Balbec
Combray, Chapitre 01.mp3 (Clic-droit, « Enregistrer sous… »)2:03:06 001 : [---- I ---- Combray] Longtemps, je me suis couché de bonne heure
Combray, Chapitre 02.mp3 5:48:35 010 : Combray de loin, à dix lieues à la ronde
Deuxième partie – Un amour de Swann :
Un amour de Swann, Partie 01.mp3 (Clic-droit, « Enregistrer sous… ») 30:31 044 : [-- Un amour de Swann --] Pour faire partie du « petit noyau », du « petit groupe », du « petit clan » des Verdurin
Un amour de Swann, Partie 02.mp3 25:42 046 : Mais tandis que chacune de ces liaisons, ou chacun de ces flirts
Un amour de Swann, Partie 03.mp3 29:36 048 : Or quand le pianiste eut joué, Swann fut plus aimable encore avec lui qu'avec les autres personnes qui se trouvaient là.下1
Un amour de Swann, Partie 04.mp3 29:11 051 : Si l'on n'avait pas arrangé une partie au dehors, c'est chez les Verdurin
Un amour de Swann, Partie 13.mp3 26:43 076 : Mon oncle conseilla à Swann de rester un peu sans voir Odette
Un amour de Swann, Partie 14.mp3 26:51 078 : Il arrivait encore parfois, quand, ayant rencontré Swann, elle voyait s'approcher d'elle
Un amour de Swann, Partie 15.mp3 29:33 081 : Le pianiste ayant terminé le morceau de Liszt et ayant commencé un prélude de Chopin
Un amour de Swann, Partie 16.mp3 27:43 083 : Swann, habitué quand il était auprès d'une femme avec qui il avait gardé des habitudes galantes
Un amour de Swann, Partie 17.mp3 24:53 087 : À partir de cette soirée, Swann comprit que le sentiment qu'Odette avait eu pour lui ne renaîtrait jamais
Un amour de Swann, Partie 18.mp3 25:03 089 : Un jour, étant dans la période de calme la plus longue
Un amour de Swann, Partie 19.mp3 30:06 092 :Il lui sourit avec la lâcheté soudaine de l'être sans forces qu'avaient fait de lui ces accablantes paroles.上14
Troisième partie – Nom de pays : le nom :
Nom de pays : le nom.mp3 (Clic-droit, « Enregistrer sous… ») 1:54:13 096 : [-- Noms de pays : le nom --] Parmi les chambres dont j'évoquais le plus souvent l'image dans mes nuits d'insomnie
Autour de Mme Swann 01.mp3 (Clic-droit, « Enregistrer sous… ») 29:40 103 : [---- II ----] Ma mère, quand il fut question d'avoir pour la première fois M. de Norpois à dîner
Autour de Mme Swann 02.mp3 24:35 104 : Le premier dîner que M. de Norpois fit à la maison
Autour de Mme Swann 03.mp3 29:11 106 :Je lui fus présenté avant le dîner par mon père qui m'appela pour cela dans son cabinet. 21行目
Autour de Mme Swann 04.mp3 26:25 108 :Après avoir jeté cette citation, M. de Norpois s'arrêta pour nous regarder et juger de l'effet qu'elle avait produit sur nous. Il fut grand, 15行目
Autour de Mme Swann 05.mp3 31:18 109 : Ce changement n'était peut-être pas aussi extraordinaire que le trouvait M. de Norpois
Autour de Mme Swann 06.mp3 31:15 111 : Ma mère ne parut pas très satisfaite que mon père ne songeât plus pour moi à la « carrière »
Autour de Mme Swann 07.mp3 29:27 113 : Peut-être aussi cette activité de tous les sens à la fois
Autour de Mme Swann 08.mp3 29:54 115 : Bien plus, les goûters eux-mêmes que Gilberte offrait à ses amies
Autour de Mme Swann 09.mp3 21:47 118 :Au moment où j'allai chez Mme Swann, l'affaire Dreyfus n'avait pas encore éclaté, et certains grands Juifs étaient fort puissants. 12行目
Autour de Mme Swann 10.mp3 27:36 119 : Ce ne fut pas seulement à ces goûters
Autour de Mme Swann 11.mp3 31:12 121 : Pendant ces minutes où Gilberte, partie se préparer
Autour de Mme Swann 12.mp3 31:01 123 : Sans doute, les noms sont des dessinateurs fantaisistes, nous donnant des gens et des pays des croquis si peu ressemblants 下62行目
Autour de Mme Swann 13.mp3 31:31 125 : Si, pourtant, malgré tant de correspondances que je perçus dans la suite entre l'écrivain et l'homme
Autour de Mme Swann 14.mp3 31:25 128 : La malveillance avec laquelle Bergotte parlait ainsi à un étranger d'amis
Autour de Mme Swann 15.mp3 33:57 130 : La dernière fois que je vins voir Gilberte, il pleuvait
Autour de Mme Swann 16.mp3 24:54 132 :Pendant ces apartés Mme Bontemps se plaignait de l'ennui que lui causaient les femmes des hommes politiques, 57行目
Autour de Mme Swann 17.mp3 30:55 134 : Et moi aussi, il fallait que je rentrasse, avant d'avoir goûté à ces plaisirs de l'hiver
Autour de Mme Swann 18.mp3 32:38 135 : Cependant, comme presque chaque fois que j'allais la voir, Mme Swann
Autour de Mme Swann 19.mp3 24:45 137 : Par association, ce souvenir en ramena un autre dans ma mémoire
Nom de pays : le pays 10.mp3 30:36 155 : Et puis chaque vice, comme chaque profession, exige et développe un savoir spécial
Nom de pays : le pays 11.mp3 30:28 157 : Je reconnaissais maintenant dans le regard dur qui m'avait fait retourner tout à l'heure près du casino
Nom de pays : le pays 12.mp3 30:02 158 :Une fois M. de Charlus parti, nous pûmes enfin, Robert et moi, aller dîner chez Bloch.
Nom de pays : le pays 13.mp3 31:19 160 : J'allai voir Bloch à la suite de ce dîner
Nom de pays : le pays 14.mp3 29:29 161 : Ce jour-là, comme les précédents, Saint-Loup avait été obligé d'aller à Doncières
Nom de pays : le pays 15.mp3 29:35 163 :Quelques semaines plus tard, quand je remontais, le soleil était déjà couché. 上33行
Nom de pays : le pays 16.mp3 30:03 164 : Si par hasard, pour finir la soirée avec telle bande d'amis à lui que nous avions rencontrée, Saint-Loup décidait de nous rendre au Casino d'une plage voisine,下44行
Nom de pays : le pays 17.mp3 31:23 166 : Célèbre, Elstir ne l'était peut-être pas encore à cette époque
Nom de pays : le pays 18.mp3 31:27 168 : Parfois à ma fenêtre, dans l'hôtel de Balbec, le matin quand Françoise
Nom de pays : le pays 19.mp3 34:26 169 : J'étais désolé de l'arrivée de Mme Elstir qui allait encore nous retarder. 下1行
Nom de pays : le pays 20.mp3 29:28 172 : C'est dans ces pensées silencieusement ruminées à côté d'Elstir
Nom de pays : le pays 21.mp3 29:34 173 : Si l'incarnation de nous-même en ce qui nous semblait le plus différent
Nom de pays : le pays 22.mp3 27:37 174 : Pensant que si je connaissais leurs amis j'aurais plus d'occasions de voir ces jeunes filles
Nom de pays : le pays 23.mp3 33:33 176 : Autrefois j'eusse préféré que cette promenade eût lieu par le mauvais temps
Nom de pays : le pays 24.mp3 32:32 177 : Étendu sur la falaise
Nom de pays : le pays 25.mp3 25:31 179 : Étourdi de chagrin, je lâchai la ficelle
Nom de pays : le pays 26.mp3 30:38 180 :Je trouvai Albertine dans son lit. Dégageant son cou, sa chemise blanche changeait les proportions de son visage, qui, 上32行目
Nom de pays : le pays 27.mp3 28:06 181 : Plaisant plus qu'elle ne voulait et n'ayant pas besoin de claironner ses succès, Albertine
Chapitre 07.mp3 38:44 222 : C'est ainsi que le prince de Faffenheim avait été amené à venir voir Mme de Villeparisis
Chapitre 08.mp3 44:28 223 : J'ai raconté bien auparavant ma stupéfaction qu'un ami de mon père comme était M. de Norpois
Chapitre 09.mp3 51:45 225 : M. de Charlus s'interrompit pour me poser des questions sur Bloch
Chapitre 10.mp3 39:34 229 : Maladie de ma grand'mère - Nous retraversâmes l'avenue Gabriel
Chapitre 11.mp3 41:18 231 : Dans un de ces moments où, selon l'expression populaire, on ne sait plus à quel saint se vouer
Chapitre 12.mp3 44:59 234 : Depuis plusieurs nuits mon père, mon grand-père, un de nos cousins veillaient
Chapitre 13.mp3 40:39 236 : Tout cela est tiré du trésor social. Mais justement le milieu d'Albertine
Chapitre 14.mp3 35:50 237 : Si vraiment vous permettez que je vous embrasse
Troisième Partie :
Chapitre 01.mp3 49:09 239 : Cependant je dois dire qu'une surprise d'un genre opposé allait suivre
Chapitre 02.mp3 56:38 241 :Une seule chose faillit compromettre mon plaisir pendant notre aventureuse randonnée, à cause de l'étonnement irrité où elle me jeta un instant. 下36
Première Partie.mp3 (Clic-droit, « Enregistrer sous… ») 1:08:54 391 : [---- VI ----] Albertine disparue - Le chagrin et l'oubli - Mademoiselle Albertine est partie !
Deuxième Partie.mp3 1:10:20 394 : Saint-Loup que je savais à Paris avait été mandé par moi à l'instant même
Troisième Partie.mp3 1:07:07 398 : En faisant la chambre d'Albertine, Françoise, curieuse, ouvrit le tiroir
Quatrième Partie.mp3 1:07:30 401 : D'ailleurs au souvenir des heures même purement naturelles s'ajouterait
Cinquième Partie.mp3 1:08:13 404 : Ma séparation d'avec Albertine, le jour où Françoise m'avait dit : « Mademoiselle Albertine est partie »
Sixième Partie.mp3 1:11:15 407 : Ce qui vint à mon secours contre cette image de la blanchisseuse
FChapitre 1.mp3 (Clic-droit, « Enregistrer sous… »)1:17:29 433 : [---- VII ----] Le Temps Retrouvé - Tansonville - Toute la journée, dans cette demeure
Chapitre 2, Première Partie.mp3 1:29:43 437 : Cette disposition-là, les pages de Goncourt que je lus me la firent regretter
Chapitre 2, Deuxième Partie.mp3 1:18:36 442 : Ils n'étaient pas restés à Tansonville, d'ailleurs
Chapitre 2, Troisième Partie.mp3 1:04:49 446 : C'est comme au théâtre quand on dit
Chapitre 2, Quatrième Partie.mp3 1:15:59 450 : Mais il faut revenir en arrière. Je descends les boulevards à côté de M. de Charlus
Chapitre 2, Cinquième Partie.mp3 56:22 453 : Comme il est simple ! jamais on ne dirait un prince
@a Marcel Aymé Ab Michel Butor Bc Louis-Ferdinand Céline Cd Marguerite Duras De Édouard Estaunié Ef Gustave Flaubert Fg Jean Genet Gh Victor Hugo Hi Jean-Claude Izzo Ij Philippe Jullian Jk Pierre Klossowski Kl J. M. G. Le Clézio Lm Montesquieu Mn Paul Nizan No Jean d'Ormesson Op Marcel Proust Pq Raymond Queneau Qr Alain Robbe-Grillet Rs Claude Simon St Michel Tournier @u Honoré d'Urfé Av Jules Vallès Bw Léon Werth Cx Dy Marguerite Yourcenar Ez Émile Zola
001 @Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n'avais pas le temps de me dire : « Je m'endors. »
103 AMa mère, quand il fut question d'avoir pour la première fois M. de Norpois à dîner, ayant exprimé le regret que le professeur Cottard fût en voyage et qu'elle-même eût entièrement cessé de fréquenter Swann,
183 CLe pépiement matinal des oiseaux semblait insipide à Françoise.
266 EOn sait que bien avant d'aller ce jour-là (le jour où avait lieu la soirée de la princesse de Guermantes) rendre au duc et à la duchesse la visite que je viens de raconter,
335 GDès le matin, la tête encore tournée contre le mur, et avant d'avoir vu, au-dessus des grands rideaux de la fenêtre, de quelle nuance était la raie du jour, je savais déjà le temps qu'il faisait.
391 HMademoiselle Albertine est partie ! Comme la souffrance va plus loin en psychologie que la psychologie !
432 IToute la journée, dans cette demeure de Tansonville un peu trop campagne, qui n'avait l'air que d'un lieu de sieste entre deux promenades ou pendant l'averse,
001 : [---- I ---- Combray] Longtemps, je me suis couché de bonne heure307 044 : [-- Un amour de Swann --] Pour faire partie du « petit noyau », du « petit groupe », du « petit clan » des Verdurin332 096 : [-- Noms de pays : le nom --] Parmi les chambres dont j'évoquais le plus souvent l'image dans mes nuits d'insomnie76
103 : Autour de Mme Swann353 139 : Noms de Pays, Le Pays524
183 : Le côté de Guermantes Première partie531 229 : Le Côté de Guermantes - Deuxième partie Chapitre premier56 234 : Chapitre deuxième447
266 : Sodome et Gomorrhe Première partie54 271 : Sodome et Gomorrhe - Deuxième partie Chapitre premier197 286 : Les intermittences du coeur51 290 : Chapitre deuxième352 315 : Chapitre troisième228 332 : Chapitre quatrième31
335 : [---- V ---- La Prisonnière] Vie en commun avec Albertine - Dès le matin727
391 : [---- VI ----] Albertine disparue - Le chagrin et l'oubli - Mademoiselle Albertine est partie !477
433 : [---- VII ----] Le Temps Retrouvé - Tansonville - Toute la journée, dans cette demeure629
@ 001 : [---- I ---- Combray] Longtemps, je me suis couché de bonne heure1/1@007 長い時にわたって、私は早くから寝たものだ。 A 032 : La haie laissait voir à l'intérieur du parc2/1@235 生垣からは、庭園のなかに一つの小道が見え、ジャスミンやパンジー B 060 : Comme tout ce qui environnait Odette3/1@415 オデットをとりまいているもの、彼女に会い、彼女と歓談できる生活 C 091 : Ce second coup porté à Swann était plus atroce encore que le premier4/1@617 スワンを見舞ったこの再度の打撃は D 121 : Pendant ces minutes où Gilberte, partie se préparer5/1A183 ジルベルトが支度をしに行って E 152 : Nous apercevions déjà l'hôtel, ses lumières si hostiles le premier soir6/1B059 もうホテルが、ホテルのあかりが、 F 182 : Puis les concerts finirent, le mauvais temps arriva, mes amies quittèrent Balbec7/1B440 やがてコンサートの時期もおわり、 G 213 : Un regard du baron de Guermantes8/1C357 ゲルマント男爵のまなざしは、 H 244 : La duchesse ne m'ayant pas parlé de son mari9/1D187 公爵夫人はその叔母の夜会では夫のことを I 274 : Tellement distrait dans le monde que je n'appris que le surlendemain, par les journaux10/1E098 社交界のなかにはいって J 305 : Le sculpteur fut très étonné d'apprendre que les Verdurin consentaient à recevoir M. de Charlus11/1F093 彫刻家はヴェルデュラン家がシャルリュス氏の K 335 : [---- V ---- La Prisonnière] Vie en commun avec Albertine - Dès le matin12/1G007 朝になると、顔をまだ壁に向けたままで、
@ 366 : Si nous n'avions que des membres, comme les jambes et les bras, la vie serait supportable1/1G389 われわれがたとえば脚とか腕とか A 397 : J'écrivis à Albertine2/1H068 私はアルベルチーヌにこんな手紙を書いた。 B 425 : Le soir, je sortais seul, au milieu de la ville enchantée3/1H417 夕方、私はこの魔法の街 C 456 : Matinée chez la princesse de Guermantes - La nouvelle maison de santé dans laquelle je me retirai4/1I295 あらたにひきこもったサナトリウムも、 D 486 : Ce serait un livre aussi long que les Mille et une Nuits peut-être, mais tout autre5/1I627 私の書物は、おそらく
Du côté de chez Swann (à compte d’auteur chez Grasset en 1913, puis dans une version modifiée chez Gallimard en 1919) (texte sur Wikisource) À l'ombre des jeunes filles en fleurs (1919, chez Gallimard ; reçoit le prix Goncourt la même année) Le Côté de Guermantes (en deux volumes, chez Gallimard, 1920-1921) Sodome et Gomorrhe I et II (chez Gallimard, 1921-1922) La Prisonnière (posth. 1923) Albertine disparue (posth. 1925) (titre original : La Fugitive) Le Temps retrouvé (posth. 1927)