Les deux buts japonai milliers de supporters (et de supportrices)
souvent très jeunes, qui se précipitent dans les rues pour hu rler à tue-tête « Nippon ! Nippon ! Nippon ! », Shinjuku, le qua rtier des affaires et des plaisirs de Tokyo avait, vendredi dernie r, des faux-airs de la Plaza de Mayo de Buenos Aires ou des Champs -Elysées version 1998. Demain soir, si les hommes de Philippe Trouss ier battent la Turquie, ces scènes de liesse risquent de se reproduir e à la puissance 10. Du jamais vu dans un pays où le tempérament et les traditions portent peu à l'exubérance.
Les deux buts japonai milliers de supporters (et de supportrices)
souvent très jeunes, qui se précipitent dans les rues pour hu rler à tue-tête « Nippon ! Nippon ! Nippon ! », Shinjuku, le qua rtier des affaires et des plaisirs de Tokyo avait, vendredi dernie r, des faux-airs de la Plaza de Mayo de Buenos Aires ou des Champs -Elysées version 1998. Demain soir, si les hommes de Philippe Trouss ier battent la Turquie, ces scènes de liesse risquent de se reproduir e à la puissance 10. Du jamais vu dans un pays où le tempérament et les traditions portent peu à l'exubérance.
Les deux buts japonai milliers de supporters (et de supportrices)
souvent très jeunes, qui se précipitent dans les rues pour hu rler à tue-tête « Nippon ! Nippon ! Nippon ! », Shinjuku, le qua rtier des affaires et des plaisirs de Tokyo avait, vendredi dernie r, des faux-airs de la Plaza de Mayo de Buenos Aires ou des Champs -Elysées version 1998. Demain soir, si les hommes de Philippe Trouss ier battent la Turquie, ces scènes de liesse risquent de se reproduir e à la puissance 10. Du jamais vu dans un pays où le tempérament et les traditions portent peu à l'exubérance.